Comment devenir courtier en assurance

Le courtier en assurances et de nature un bon négociateur. Il a également une bonne maîtrise des assurances, ce qui lui confère en plus de ses qualités relationnels, la capacité de satisfaire les besoins de ses clients de façon efficace. Le métier de courtier en assurance est un environnement dense et plein d’opportunités. Pour s’y faire une place, il faut répondre à des exigences précises. Nous vous en proposons quelques-unes dans les lignes qui suivent. 

Qu’est-ce que le métier de courtier en assurances ?

Le courtier en assurance fait partie des 4 catégories d’intermédiaires d’assurance. L’article 115-L du code des assurances précise les contours de ses missions. En effet, le rôle du courtier en assurance est de fournir des recommandations concernant des contrats d’assurance ou de réassurance. Il peut les proposer ou participer à leur conclusion.

La capacité professionnelle 

Pour exercer le métier de courtier en assurance, il faut justifier d’une capacité professionnelle de niveau 1-IAS. On peut l’obtenir par trois voies : l’expérience professionnelle en production ou gestion de contrats d’assurance ou de capitalisation dans une entreprise d’assurance ; Un master ou une licence spécialité finances, banques, assurances et enfin une formation de 150 heures dans une entreprise d’assurance ou dans un établissement de crédit. Rendez-vous sur www.iobsp-niveau-1.com pour votre formation iobsp. 

L’immatriculation au registre du commerce et des sociétés 

Comme tous les commerçants, le courtier en assurance doit s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés (RCS). L’emploid’un extrait Kbis lors de son inscription au registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance est nécessaire. Un document qui devra mentionner l’activité de courtier comme activité principale ou secondaire. 

Les obligations d’assurance et/ou de garantie financière 

Le code des assurances impose au courtier de souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle pour couvrir les risques liés à ses activités. L’intermédiaire qui doit recevoir des fonds, même de façon occasionnelle dans l’exercice de ses activités, doit également bénéficier de garanties financières pour rembourser ces fonds.