Aujourd’hui on ne peut plus se passer de connaître un minimum l’anglais. Partout, et surtout dans le monde numérique, cette langue est celle dans laquelle sont données les indications, les instructions, et si l’on ne la comprend pas on passe à côté de trop de choses. Dans le monde des affaires, il en va de même : on communique avant tout en anglais dans les relations commerciales internationales. Enfin, et ce n’est pas le point le moins important, partout on l’on se rend en tant que touriste – et aujourd’hui le monde nous ouvre les bras – on peut se faire comprendre grâce à la langue de Shakespeare, au moins pour ce qui est des premières nécessités. Il convient donc, à un moment donné de sa vie, savoir à quel niveau on se situe.

Des tests spécifiques pour l’anglais

Que l’on souhaite entreprendre des études de commerce international ou bien postuler à un emploi dans lequel la connaissance de l’anglais est requise, tant à l’oral qu’à l’écrit, il convient de savoir à l’avance si l’on a bien acquis toutes les bases nécessaires. Pour cela il existe deux examens renommés : le TOFEL – Test Of English as a Foreign Language – et le TOEIC – Test Of English for International Communication – qui sont tous deux reconnus et qui permettent de savoir où l’on se situe dans sa pratique. Les internautes intéressés trouveront plus de détails sur ce site dont la spécialité est précisément de permettre de passer différents tests de niveau.

Du français à l’anglais à l’international

Certes il existe dans le monde un grand nombre de pays dans lesquels le français est la langue principale, mais il faut reconnaître que la langue de Molière n’a plus l’aura mondiale qu’elle a pu avoir durant l’histoire de l’humanité. Or même si l’on dit souvent que les français ne sont pas de bons locuteurs en langue anglaise, la proximité géographique, historique et culturelle entre le Royaume Uni et l’Hexagone favorise grandement l’apprentissage de l’anglais par les jeunes français.